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Norbert à PEKIN 2 (le retour)

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16 mai 2006

jour 14

Voila mon dernier vrai jour a pékin. Je dois donner un cours de rock au HQ center ce soir. Je sais que demain se sera le retour vers

la France

et vers mon petit village de Rognes.

Même s il est 10h 30 du matin, j ai l étrange impression qu il  fait toujours nuit, il n y a pas ou peu de lumière. L éternelle pollution , celle qui ma donne du fil a retordre ces deux semaines, celle qui a fait souffrir mon oeil , celle qui m a brûle la gorge et celle que je vous ai tant décrie sur ce blog avait voulu , a sa manière, me souhaiter un bon retour. Elle avait, pour la circonstance revêtit son habit de fête et d apparat. La ville était entièrement recouverte d une chape sombre, grises, presque comme s il faisait nuit. Circonstances ou signes du destin, ma « pire ennemie » pendant ce voyage me montrait sa puissance et l emprise qu elle avait sur la ville et les gens.

Je vous passe les dernières courses et les derniers préparatifs.

Je retrouve à 17h avec plaisir les quelques danseurs que j avais eu l année dernière au hq center. Incroyable !! Ils n avaient pas oublie les pas de bases que je leur avais montre l an dernier. Ce fut donc un cours sans problème et, je le dis (ou plutôt je l écris, soyons extrêmement précis car certaines lectrices, comme Sophie sont concentrées sur la grammaire que j emplois ainsi que sur la pertinence du vocabulaire que je choisis) avec une énorme fierté,( les amis proches apprécieront a sa juste valeur ma performance qui ferait passer Gérard Daboville pour un vulgaire gondolier vénitien) j ai enseigne pendant deux heures en ……. ANGLAIS !!!! Eh oui chers lecteurs, j ai utilise avec efficacité la langue de Shakespeare pour que ma traductrice puisse faire son boulot. Pour vous cela n est peut être rien, mais pour moi cela relève d un exploit qui pourrait allégrement se classer dans la catégorie des miracles !

Le cours se termine et, je quitte avec regret mes élèves chinois.

Nous n avons pas de temps a perdre car, Alicia, la sœur de laure, joue ce soir un pièce de théâtre au lycée français de pékin. Le temps de sauter dans un taxi, de rentrer dans la salle et le spectacle commence..

Il est drôle de voir, finalement, dans cet établissement, des élèves de toutes nationalités, souvent d ailleurs, les fils du personnel des ambassades. Le niveau scolaire est extrêmement relevé, ce qui, je fais un petit aparté, rehausse encore les excellentes notes de laure cette année.

Apres le spectacle, Odile nous conseille un restaurant japonais. Il se trouve dans un Pallas de la ville. Lorsque je vous écris PALLAS, je pèse mes mots car l endroit ferait passer l hôtel de paris, le Martinez ou le Carton pour des snacks de quartiers. L endroit est magnifique, tout en marbre et en cristal, au premier étage un femme joue de la harpe, tout n est que dorures et beautés. Les personnes qui peuvent vivre dans ces endroits peuvent ils, une seconde, comprendre la misère ou les problèmes du peuple ? Je laisse cette question existentielle et philosophique à votre jugement.

Il faut entrer dans une aile de ce grand hôtel pour accéder au restaurant japonais. Le décors est vraiment splendide, ils ont refait entièrement un petit village typique, avec la cours de sable blanc décore, les petites maisons qui sont en fait des salles prives, tout est retranscrit merveilleusement ce qui immerge le client dans l ambiance et le rêve..

Le  repas est excellent, notons que l on nous as offerts des langoustes en plus de tous les plats que nous avons goûte (qui peux me donner le nom d un restaurant français ou l on offre des langoustes ?).Je dois, tout de même, vous faire part de l addition a quatre personnes : 80 euros. Même si cela est le prix pour un repas moyens pour deux personnes en France, à Pékin c est plus que le salaire de 90 % de la population.

Apres cet  intermède dans le monde des milliardaires, je ne pouvais pas partir sans dire au revoir à mes amis chanteurs du swing bar. Nous avons donc pris un dernier verre dans cet établissement et c’est avec regret que je les ai quitte.

Voila, il est 23h40, la nuit pékinoise emporte avec elle, les dernières images de mon voyage. En entrant dans ma chambre, je regarde ma valise, je me couche, et, je sais que demain se sera mon départ pour

la France.

J

ai envie de ne pas dormir pour profiter encore de ces minutes qu il me reste mais la fatigue fait inexorablement son effet apaisant et je ferme les yeux en pensant déjà a demain .

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10 mai 2006

BONUS

Juste un petit message pour remercier encore toutes les personnes qui lisent ce blog. Un merci a Christian qui habite la chine pour ses commentaires pertinents. Loin de moi l idee de tout connaitre, ceci , vous le savez, n est que le recit de mon voyage. Christian c est promis lors d un prochain voyage tu seras mon guide. Encore merci pour tes commentaires c est genial!!

9 mai 2006

jour 13 (2eme partie)

C’est vers 19h que Luo jie sonne a l appartement. Je descends et je la retrouve. Elle a décide, pour ce qui sera notre dernier jour ensemble (de mon voyage car j espère la revoir bientôt), de faire appel a mes origines italienne, puisque c est sur un célèbre restaurant de cuisine transalpine que son choix c est porte. Le taxi nous laisse dans une rue proche de celle ou ce trouve le swing bar. Elle me demande de la suivre ce que je fais avec un plaisir non dissimule (remarquez, chers lecteurs, je ne pouvais rien faire d autre j étais perdu), mais au bout de quelques minutes de marche un terrible constat s offre a nous : Elle ne sait plus ou se trouve le restaurant !! Je l encourage a chercher a nouveau et a demander aux personnes que l on croise dans la rue mais rien n y fait. Luo jie commence a s énerver car elle se faisait vraiment une joie et un devoir de me faire manger italien. Je ne vous ferais pas plus attendre, nous n avons jamais trouve le resto.

La mine un peu déçue, elle me dit que l on va manger chinois. Nous reprenons un taxi et nous nous optons donc pour une soirée « chinoise ».

Le repas se passe a merveille et il est plus de 22h30 quand nous décidons de partir.

Luo jie me demande si je veux aller danser la salsa au « caraibean ». Je décline l invitation. En fait, chers amis, je sais que les au revoirs et encore plus les adieux sont des choses plus que difficiles a faire, alors je préfère les écourter. C est avec une grande tristesse que je regarde s éloigner le taxi jaune avec luo jie a l intérieur. Cela pourrait être la dernière fois que je la vois, et je me sens un peu comme celui qui quitte, celui qui s en va, celui qui abandonne. J ai au fond de moi, comme un sentiment d injustice. Si il y a « un dieux (celui qui vous corresponds) », une destinée, un équilibre naturel, pourquoi alors me font il rencontrer des gens aussi touchants, aussi tendres et attentionnée que cette jeune chinoise, si ils m en prive presque aussitôt. Il y a, je pense, dans ce grand et constant apprentissage de la vie des instant plus difficiles que d autres, des moments ou l on doit affronter ses sentiments, ou l on doit partir alors que l on voudrait tant rester. Ce s ont ces choix, ces actions, qui nous font petit a petit devenir grands.

Lorsque je me couche, je revois encore a l image de luo jie s évanouissant dans la nuit pékinoise. Cela me fait penser a un vieux film noir des années cinquante ou la blonde fiance du détective disparaît en se retournant une dernière fois dans les brumes et la fumée d une ruelle sombre de New York, sauf que, la, ce n est pas du cinéma…

PHOTOS

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LUO JIE

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30 avril 2006

jour 13(1ere partie)

En me levant ce matin, je sais que la journée va être longue et dure pour mes pieds, je sens également qu avec cette quête du jours pour trouver mes souvenirs et les cadeaux a acheter pour tous mes proches, souffle inexorablement un vent de retour et de fin de voyage. Je suis donc triste en ce début de matinée. Mon esprit est déjà dans l organisation de ma valise et les derniers préparatifs. Il faut bien accepter l évidence : Mon voyage est bientôt fini et je vais devoir quitter Laure, Alicia et leur mère. Je fais ma toilette et je descends les escaliers de bois qui m emmène vers la salle à manger de l appartement.

Il me faut penser a autre chose..

Chers lecteurs, je ne sait pas vraiment quoi dire sur cette journée.  Je n ai pas envie de développer a outrance le moindre petit geste, et je vous avoue que nous n avons fait que marcher et sillonner les étales des centaines de magasins. Rien de très exceptionnel a raconter. Je dois donc, pour être précis, vous dire que le restaurant dans lequel nous avons mange, près du Stade, est excellent et que le repas a coûte 6,9 euros et qu en fin d après midi Odile m a conduit dans un marche au « brochettes »(voir photos).

Je décide donc de vous livrer les images de la ville, du repas, ainsi que les « friandises » du marché. (A suivre)

PHOTOS

1: Le stade de Pekin

2-3-4: Le  repas

5-6--8-9-10-11-12: Vues de Pekin

13-14: Entree de metro

15: Le chevailier, il est vivant! En fait c est un homme qui toute la journee monte la garde!!

16-17-18-19-20-21: Vues de Pekins

22-23-24-2-5-26-27-28-29-30-31: Bon appetit au mache aux brochettes.. Je vous sert quoi?

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PS: Ce site est lu par des francais, des americains, des mexicains, des cambodgiens, des chinois, des allemands,des italiens et des belges(statistiques de l hebergeur). Ce site est donc international et je vous remercie tous de votre confiance...

30 avril 2006

jour 12 (2eme partie)

Nous arrivons devant le magasin de service après vente Sony. Les portes en verres souvrent automatiquement et nous laissent entrer dans le lieu.  Je prends un ticket et nous attendons un demi heure. Le tableau lumineux montre soudain mon numéro et il me reste plus qu a aller devant le guichet de libre.

Je vous parle souvent dans ce blog, ainsi que dans le précèdent, des différences que je rencontre entre

la France

et la chine. Je vais donc encore une fois mettre de l eau au moulin de ce site. Apres avoir explique le problème de mon appareil photo numérique, l employée de Sony me dit qu il faudra laisser l appareil deux jours pour qu il soit répare (notons qu en France, le délai est de trois semaines minimum.). Je dit a la jeune femme de l accueil que je n ai pas le temps d attendre et elle me répond, presque en s’excusant, de repasser alors dans une heure. Chers lecteurs, je pense que vous pouvez comprendre, a ce moment, l émerveillement et l admiration que j éprouve pour ce système productif. Peut être devrions prendre des leçons sur la prestation de service ?

Pendant cette heure d attente, nous allons visiter un grand magasin. J en profite pour acheter des CD de « techno » chinoise et de morceaux a la mode. Ce ne sont pas que des CD, car, lorsque vous voulez les écoutez sur votre lecteur DVD de salon, il y a aussi des films de filles sexy qui dansent sur les musiques. Cela fait un peu « amateur », mais cela peut donner un petite ambiance, alors j adhère aux CD chinois et j invite les producteurs de compilations européennes a en faire autant.

Une heure plus tard, je récupère, sans problème, l appareil de photos entièrement répare. Bravo aux techniciens Sony.

Heureux d avoir récupère mon « partenaire de voyage numérique », je rentre a la maison pour me repose de ce périple a travers pékin. Ce soir nous devons aller danser le rock n roll au «  Nashville bar ».

Comme l a semaine dernière, la musique est bonne et les danseurs sont très nombreux. Je vais danser avec Laure (ça, c est cool !). Nous entamons un ou deux titres en dansant au milieu des amateurs de swing. Apres cela, une danseuse chinoise veut danser avec moi, et je vais comme cela danser avec les danseuses du cru.

C est vers 23h que je dis « adieu » à cet endroit vraiment génial et convivial. Je suis triste lorsque je pense que lundi prochain je serai, si dieu le veut, bien loin de Pékin.

Je suis tellement fatigue que je n  ais pas la force d écrire mon blog.

Je me jette dans mon lit car demain, la journée va être dure : C’est la journée  ou je dois acheter tous les souvenirs et les cadeaux.

PHOTOS

1: Laure et moi  au Nashville bar

2-3-4-5-6-7-8-9-10: Cours de Rock n roll a Pekin.

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29 avril 2006

jour 12( 1eme partie) Les photos!!

PHOTOS du 12jours(1ere partie)

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28 avril 2006

jour 12( 1ere partie)

Odile me réveille en tapant à ma chambre. Le bruit sec et fort du contact de sa main contre la parois de la porte résonne dans mes oreilles, encore en état d hibernation avancée, comme la retranscription sonore d un matin de 1914 dans un champ de Verdun. Il est neuf heures du matin. Elle veut me montrer deux temples dans la ville. J ai du mal a émerge a cette heure plus que matinale pour le vrai noctambule que je suis. Elle m explique alors qu il faut être impérativement a 11h30 au premier temple car il s y déroule tous les jours, a cette heure précise, un spectacle typique, très joli et quelle voudrait me faire connaître.

Avec toute ma détermination (il en faut lorsque l on a sommeil), je me lève,  je cours(non ,en fait, plutôt «  je marche », toujours pas…ah oui j ai trouve les  mot justes c est : « je rampe ») vers la salle de bain pour faire ma première toilette du jour et me préparer a  affronter cette journée de visite  et la pollution de Pékin( je parle beaucoup de cela mais c’est un élément essentiel de cette ville et qu il vous faudra bien, surtout si vous désirez venir un jour en Chine, appréhender et , disons le clairement, combattre).

Nous prenons le taxi, car nous sommes en retard pour aller au premier temple. En fait les deux monuments que nous devons visiter aujourd’hui sont l un en face de l’autre, sépares a peu près de

400 mètres

. Ce sont deux lieux très importants de la culture traditionnelle chinoise. Ce qu il faut savoir c est que l implantation des temples n était , en aucune manière, le fait du hasard ; Il sont tous en ligne droite en direction de la cite interdite .

C’est donc, un vrai choix religieux car les moines pensaient, que, si tous les bâtiments étaient en ligne, alors la foi se transmettra efficacement. Voila résume, l explication de la localisation des temples. Je dois, tout de même, préciser encore une fois, n étant pas un spécialiste de la culture chinoise mais juste, un observateur curieux, que je peux me tromper ou ne pas être exactement dans le vrai.  Je vous livre les informations que l on me donne avec, pour seule et grande motivation, celle de vous permettre de vivre et de ressentir mon voyage.

Malgré l efficacité du chauffeur de taxi, les embouteillages permanents de cette fourmilière humaine auront raison de nos desseins de visites matinales. Lorsque le véhicule nous conduisant s immobilise, les aiguilles de la montre (très originale) d Odile indiquent midi. Nous avons rate le show. Tres déçus, nous demandons, a l entrée du temple, a la personne responsable de la ventes des billets, s il n y a pas une autre possibilité de voir le fameux spectacle. Elle me répond q u il y en a un autre a 13h35. Rassures, nous décidons de remettre à cette heure la visite du premier temple.

Je ne vous ai pas situe les deux édifices. Il ce trouve juste a cotes du « lotus lane » . Pour ceux qui suivent le blog depuis le début, c’est l endroit ou se trouve un grand lac avec des bars et des boites autour. Odile me propose de profiter du temps qu il nous reste pour faire en entier le tour du lac, car je n avais fais que la partie des bars. Le lac est très grand,  nous marchons a cotes des ‘bidonvilles’ fait de tôles et de tissus. Je vous invite, pour faire la visite du lac et de ses alentours, à consulter les photos ci-dessous. Je m aperçois en voulant prendre une photo qu une sorte de tache noire apparaît dans mon écran lcd. Je comprends instantanément que la pollution a touche mon appareil numérique. Une poussière s est infiltrée a l intérieur de l objectif. Une seule solution : l amener rapidement au service après vente de Sony.

La visite a pied du lac nous emmènera, aux portes du temple 10 min avant l heure de la représentation.

Lorsque j arrive à l entrée, je ne sais pas encore la surprise qui m attend. Je pénètre dans une grande enceinte, rien ne me laisse augurer de ce que le monument me reserve comme efforts. La porte du temple s ouvre et je vois que pour accéder tout en haut, ou se situe la pièce principale, il va me falloir gravir (le mot colle parfaitement a la situation) des escaliers monstrueux  interminables et abruptes. C est avec un léger mal aux molets  que j atteins le sommet de l édifice. Tout autour de moi, il y a des gros tambours. Je fais rapidement un tour des lieux, je vois qu  il y a la le plus gros tambour du monde (guiness book). I l est précisément 13h30 lorsque je vois arriver un groupe de chinois habilles en rouge. Chacun d eux se place devant un tambour ; Au signal, tout le groupe commence a jouer. Cela dure à peu près dix minutes, j ai pu avoir une idée globale des possibilités sonores de ces instruments. Très heureux d avoir vu et entendu cette représentation, je me concentre pour la décente vers la terre ferme.

Il me fallait maintenant faire les

400 mètres

qui me séparaient du deuxième temple. Aussitôt dit, aussitôt fait et me voila pour une seconde fois a escalader les escaliers de pierres certainement places et construits de cette manière pour protéger la salle principale des yeux de toutes les personnes pas réellement motivées.

Le temple est le gardien d une très grande et belle cloche. Je vous invite à regarder les photos ci-dessous. Ce qui m attire et me fascine, bien plus que la cloche je vous l avoue, c est la vue sur les quartiers pauvres, c est bidonvilles que j avais vu en marchant autour du lac. Je prends tout de même des photos avec mon appareil numérique malade. Je me dois d immortaliser cela, car comme la ville a besoin de construire de plus en plus de buildings, les autorités font détruire, petit a petit ,tous ces quartiers en laissant tous les pauvres habitants dans la rue. La reine des fourmis ne ce soucie aucunement du bonheur ou du malheur de ses semblables.

Perdu dans ces pensées, j en oublie l heure. Odile me rappelle que nous devons impérativement aller au service après vente de Sony. Le temps de prendre un taxi et nous voila sur la route du magasin de réparation. (fin de la première partie … a suivre)

27 avril 2006

bonus

Meme a Pekin,(quoi qu en pense fred) Ils y a de vrais connaisseurs du football. Ils supportent donc une grande equipe qui va, remporter la coupe de france face au...... ( ils sont si ridicules que j ai oublie leurs nom)

A pekin comme dans lemonde entier , on CRIE tres fort

ALLEZ l' OM!!!!!

supporters

26 avril 2006

jour 11

Le soleil a, déjà, pointe ses rayons sur Pékin, le ciel est d un bleu que je n avais pas encore vu depuis mon arrive en chine. Un léger vent se faufile habilement entre les buildings en un sifflement constant. Il est aux alentours de 11h, lorsque mes yeux s entrouvrent. Mon œil gauche me fait légèrement moins mal, ma vision n est pas parfaite mais je n ai pas envie de m inquiéter, on verra bien, c’est tout.

La fin de matinée se passe, je travaille sur le blog, je mange avec la famille à la maison. Nous avons prévu cet après midi, d aller avec Alicia (la sœur de laure) au ‘Toys market ». Comme son nom l indique c est un immense magasin dont un étage est entièrement consacre aux jouets, gadgets et jeux en tous genres (Si Laurence voit cela un jour, elle ne repart plus). C est le fouillis complet, nous avançons entre les allées, je suis bouscule par les clients, je suis émerveille par tous ces objets coinces les uns contre les autres dans les petits stands. Je retrouve un sourire et une âme d enfant, je suis sous le charme du lieu. Les bruits, les couleurs ainsi que les milliers de lumières qui clignotent me ramènent  inconsciemment dans mon enfance, je ressens resurgir mes envies de gosse que tout émerveillait et j ai envie de tout acheter. Il était si doux ce temps de l enfance ou je ne faisais que rêver. Rien n était encore construit dans ma vie, je savais pertinemment que je pouvais tout être, tout devenir, du grand avocat( j aurais pu bosser avec Yves et fabien) au joueur de foot, de  l informaticien a l astronaute et du commercial au prof de danse. Lorsque l on est enfant, on peut, on veut, tout croire. Cette bulle confortable a l intérieur de laquelle j ai grandis et que seuls la fin des études, le retour de l armée et la quête d un travail, ont réussi a crever, était pour moi comme un grand jardin illumine constamment par le soleil, ou, je pouvais marcher et courir a ma guise en toute sécurité, car rien n était grave, même si je faisait un mauvais choix, j avais toute la vie devant moi pour changer de cap et rectifier la chose. J ai vécu ces instants avec bonheur, je me demande quelques fois si j ai, un jour, voulu être grand et si finalement, ma carrière artistique n est pas la résultante de cette volonté de ne pas vieillir pour garder  mon âme d enfant. Pour être très honnête,  je réfléchis souvent a cela, je me dis qu il faudrait que je change un peu, que je me « range », que je me raisonne pour tendre vers une adéquation entre mon image et mon age, et faire «  comme il faut » ou «  comme il est normal de » ; Mais en suis-je vraiment capable ? Je crois plutôt qu il ne faut pas contrarie sa personnalité, on doit au contraire l accepter et tenter de vivre avec. Peut être n ai-je pas la crédibilité ou le sérieux que l on attend de moi a trente ans passes ( eh oui), mais cette partie de moi qui n a pas grandi prône des valeurs de tolérances, de rencontres, de partages et croit toujours que le grand amour, sous les traits d une jeune femme splendide, qui, lorsque elle me parlera enchantera de sa voix mon esprit, qui aura la repartie, l élégance et le savoir vivre qui peuvent transformer une femme en muse ou en déesse, tapera a ma porte pour me faire vivre, comme l on lit dans la littérature romantique, une passion  d une telle force qu elle ne s arrêtera ni se ternira jamais. Je vais arrêter la mes propos sur la fuite du temps, « RONSARD »  a déjà tout écrit sur le sujet. Je continue donc mon récit sur ce splendide et si pittoresque magasin (Les lecteurs intéresses seulement pas la vie chinoise m excuseront pour mon léger dérapage). Sur les étages supérieurs, il y a des vendeurs de perles, de  vêtements, de souvenirs et d objets d’arts en tout genres et au sous sol, il y a une marche aux poissons (l odeur ne m a pas donne envie de visiter le lieu car, je pense qu a ma sortie et même, après trois douches consécutives j aurais eu grand mal a me débarrasser de ce «  fumet ».

Le temps de ramener, en taxi, Alicia a la maison, nous devont, avec Odile, repartir pour aller voir l opéra de Pékin. C est un spectacle que je veux voir absolument, .l année dernière, j avais été très frustre de n avoir  pas pu y aller. C est la culture ancestrale chinoise. Il se déroule en trois actes (trois  petites pièces). La première est une histoire, la deuxième  est une suite de chansons et la troisième est une scène avec des combats. Incontournable !

Nous arrivons devant le théâtre. Apres avoir pris nos billets, nous entrons dans un grand hall, il y a trois salles, l une est pour le cirque de pékin (acrobaties et jongles), dans l autre, il se joue un spectacle de magie et c est dans la dernière que va se jouer la représentation pour laquelle je suis venu. Sur les murs il y a des photos, devant moi il y a une petite scène ou va se jouer le spectacle.  Je m assois sur le siège que ma conseille l ouvreuse, et j attend patiemment le début de la représentation.

Au bout d une dizaine de minutes, les lumières d ambiances s éteignent et le spectacle commence. Je ne vais pas y aller par 4 chemins, même si je pense, forcement, n être pas objectif sur le sujet, car je n ai, au préalable, pas cherche a connaître ni a comprendre ce type d opéra, mais je n ai absolument pas aime !! Imaginez un vacarme assourdissant, un peu comme si une dizaine de personnes tapaient avec des louches sur des grandes casseroles de toutes leurs forces attendant que le comédien, l instant d une pose, soudainement s immobilise pour arrêter leurs bruits puis le reprendre de plus belle, au moindres mouvements de l acteur.

Pour le deuxième acte, c est une comédienne, en costume traditionnel avec deux grands rubans qui prolongent les manches de sa robe, qui se présente a nous. Elle débute sa chanson. Stupéfiant ! Sa voix est un mélange entre les cris que pourrait faire un chat si on le torturait et l alarme de ma maison. La tonalite est très aigue , elle monte est elle descend de manière périodique et cadencee(Pierre pourrais mieux vous dire avec les termes techniques qu il connaît et dont il est si friand, que c est un son sinusoïdal, mais comme je n en suis pas sur, je vous demanderais, chers lecteurs, de ne pas apporter grand intérêt a cette parenthèse) .Je me languis la fin de cet acte, car mes oreilles de mélomane (européen) ont du mal a se faire a cette succession de sons non harmoniques( je rappelle a mes lecteurs, que ceci  est juste  mon appréciation et que cela ne remet pas en cause , la coutume chinoise ni le travail et la compétence des acteurs qui se produisent dans ce théâtre ).

Le troisième acte, même s il est toujours accompagne de cette musique assourdissante est plus attractif. Il se joue devant nous une scène de combat a l épée avec des acrobaties. C est plus spectaculaire et nettement  plus propice à être aimer par les néophytes que  nous sommes, nous, les étrangers.

La représentation se termine, la musique si forte est toujours présente à mes oreilles même après être sorti du théâtre. Il y a des choses que l on doit voir et connaître pour ne pas, comme le dit le proverbe « mourir idiot », l opéra de
pékin en est une. Honnêtement je n ai plus du tout envie d y retourner, ou plus tard peut être, si un jour je fais ce travail de recherche et de compréhension sur cette discipline théâtrale chinoise ou si un jour la nature m ôte toutes capacités auditives.

J ai envie de me remettre de mes ‘émotions’, Odile me dit qu il y a une très grand restaurant dont la spécialité est le canard laque. Elle a toujours voulu y aller mais elle n a jamais eu encore l occasion. Sans perdre une seconde nous décidons donc d aller dans ce lieu mythique de la gastronomie chinoise qu est le ‘Da Dong restaurant ‘. Une devanture digne d un palais  un couloir d entrée a la hauteur de ce que l on attends d un tel établissement. Pour nous faire patienter, il y a, a notre disposition, du vin rouge, du blanc, de l’eau et des jus de fruits. Jusque la, aucune faute de goût, mais le charme s estompe vite car l attente devient interminable (plus de 45 minutes). C est avec un vrai soulagement que je vois s approcher la serveuse, qui, doit nous amener a notre table. Comme le restaurant est complet, je comprend, en voyant la table que l on nous propose, qu ils viennent de nous donner un salon prive. Tout a l intérieur est décore avec goût, il y a même un écran  plasma géant (avec son home vidéo system) qui ferait mourir de jalousie clothilde qui rêve depuis si longtemps d accrocher au mur  de sa maison ce type de télévision. Tout  est propice pour  que l on se régale et que l on finisse en beauté cette journée. Le charme tombe soudainement, il n y a plus rien en cuisine de ce que la carte nous propose, le service n est pas du tout celui que l on attend d un restaurant de luxe( Odile a fini son repas sans avoir eu a boire).

La nourriture est quelconque, et nous en venons a regretter de ne pas être allé dans un des petits restaurants ou nous mangeons d habitude ou la nourriture et si bonne, le personnel a l écoute de nos moindres sollicitations et l addition si douce pour celui qui vit et qui connaît le tarif d un repas en région aixoise. Pour conclure, je ne conseillerais a personne cet endroit, sauf peut être pour ceux qui aiment dire ; « J ai mange au Da Dong ».

Nous rentrons un peu désabusés a la maison. Laure regarde un film sur son ordinateur, je m associe a elle et lorsque le film se termine vers minuit et demi, je décide, après quelques minutes passées a tenter d écrire, de me coucher pour récupérer et prendre des forces pour demain. Ce sera une dure journée, avec des visites de temple et une grande  vadrouille dans les rues de la ville .Le soir, on montre le rock n roll aux danseurs du cours de swing. Il doit être 1 heure du matin lorsque je m engouffre dans la couette de mon lit, me laissant plonger vers un sommeil profond.

Photos

1-2-3-4-5-8-9: Les alentours du Toys market

6-7: L interieur du Toys Market

10-11-12-13-14-15-16-17-18-19-20-21: Vues de la ville

22: Incroyable, le premier tag de chine!! Serieusement c est du jamais vu

23-24-25-26-27: L opera de Pekin

28-29-30-31-32-33-34-35-36-37-38-39-40-41: le Dadong Restaurant

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24 avril 2006

jour 10 (2eme partie)

Les plats sont vraiment délicieux. Je suis agréablement surpris que la beauté du lieu égale la valeur du repas (c’est tellement rare, dans notre pays c est souvent ou l un ou l autre). Si l on avait dit (n est ce pas Clothilde ?), il y a quelques années, que je serai, un jour,  en chine, dans un restaurant thaï, en train de déguster et surtout d apprécier les saveurs locales, je crois que j aurai ris au nez de la personne qui aurait pu émettre une telle hypothèse dont l improbabilité aurait frisait, pour ma petite personne qui ne jurait que par la sédentarité, le ridicule .Pour en revenir au repas , tout est bon , je dois donc vous conseillez grandement le « banana leaf » a pékin( je cite les bon endroits, car il y a parmi vous des touristes potentiels, et je me dois donc de leur donner mes bonnes adresses pour qu ils puissent ,le temps venu, ne pas ce tromper dans le choix d un restaurant). Nous quittons donc, heureux, cette cuisine thaï et nous nous apprêtons a entrer dans la nuit ‘jet set » pékinoise.

Le taxi nous dépose devant la première grande boite a la mode de la capitale. La devanture est énorme et les voitures garées devant l entrée (Porsche carrera, Z4, Range Rover sport et BMW M3(y a Fred dans la boite ou quoi ?)), dénotent que l endroit est fréquente par les riches chinois. Pour arriver sur la piste de danse c est vraiment un chemin de croix. Dans un premier temps on nous conduit aux vestiaires, ce ne sont pas des cintres mais un genre de consignes. Notons que le vestiaire n est pas payant et est compris dans le prix de l entrée (3 euros). Ensuite, il faut passer la garde rapprochee. Une dizaine de vigils, passent en revue, toutes les personnes qui ont réussis a entrer. J ai droit au grand jeu : fouille générale et détecteurs de métaux !!Ils me confisquent l appareil photo. Vous n aurez donc pas d images de cette boite, dont je m aperçois que je ne vous ai pas donne le nom. Un des endroits les plus selects de pékin s appelle « LE TANGO ». Je longe un couloir de velours rouge et j entre, enfin, dans la salle. La clientèle féminine (désole mais c’est ce que je regarde en premier) est bien différente de celle que je croise tous les jours dans les rue de la grande ville. Au bar, il y a une « ribanbelle » de jeunes filles, en tenues de starlettes. Elles dansent de façon langoureuse devant le comptoir. Un serveur nous place a une table, sur celle d a cote, il y a un vingtaines de bières posées,  prêtes a être bu par deux chinois. Sur notre droite, il y a deux hommes entoures de quatre femmes visiblement emechees qui essayent des bouger en rythme et surtout de rester en équilibre. Le matériel de sono est impressionnant, il y a trois ‘disk jokey’, (deux gars et une fille qui m a l air de s occuper des lumières). La première chanson qui passe c est «  i will survive », cela  m amuse vraiment de voir ces chinois sauter comme des fous sur cette musique, qui me fait toujours penser a l année ou, notre belle équipe de France a remporte le trophée suprême. La suite de la programmation musicale, c est un mélange de musiques électroniques et de ‘dance ‘chinoise. Au bout de deux heures, je décide avec laure et Odile de changer d endroit. Total des courses : Une bonne boite de nuit, assez classe, musique moyenne pour un habitue des nuits aixoises, bonne frequentation(attention tout de même, les chinois n ont , pour moi, pas encore bien assimile leurs statuts de nouveaux riches et  ils agissent plus en « beaufs », qu’en gentlemen), et les filles sont assez jolies, l entrée est ,je le répète, a 3 euros et les consommations alcoolisées sont a 3,50.Un lieu a découvrir si vous etes de passage sur pékin.

Le deuxième arrêt de notre course nocturne, c’est le Suzy Wan, une ancienne fumerie d opium qui s est reconverti en un bar discothèque. Le lieu est magique, il a garde son ancien décor, je monte des escalier en bois centenaires et je me retrouve dans un décors de fumerie du style "Tintin et le lotus bleu", la clientèle est presque exclusivement des expatries et quelques chinois boivent un verre autour de l immense comptoir tout en bois sculpte. Pour celles et ceux qui fréquentent les nuits aixoises, c est un peu, par la musiques et par la clientèle, comme « le manoir », l ambiance est celle d un ’before’. L entrée est a 3 euros et les consommations sont a 3,50 euros. Un très bon bar  pour commencer la nuit. Au rez de chaussée, c est la boite de nuit, encore une fois, le style est vraiment différent. Les expatries viennent dans ce lieu pour draguer et les jeunes femmes chinoises n ont pas vraiment l air très « farouches ». La aussi, si vous etes en quête de sensations fortes, n hésitez pas c est l adresse qu il vous faut. Pour rassurez, encore une fois mes lectrices, je n ai fait qu une très breve apparition dans la boite car nous sommes reste au bar, au premier étage (mais n en aviez évidemment jamais doute).

La troisième boite de la nuit, c est la dernière discothèque a la mode, la, on touche le must des nuits pékinoises. Tous les clients sont des VIP, c est une pâte très blanche et des billet de banques nombruex, qu il faut montrer à la physionomiste pour pouvoir pénétrer dans l enceinte de  du’ CARGO’.A l intérieur c est vraiment superbe, la deco est très belle, les lumières jouent un feu d artifices dans mes yeux. Il y a un show laser de toute beaute !. la musique est de la bonne techno et la clientèle et vraiment de très haut niveau. Les filles du lieu doivent être « castees », elles sont toutes superbes, et c est un véritable enchantement (pour celui qui aiment le type « asiatique), de se retrouver, entoure de toutes ces demoiselles, sur la piste de danse. C est vraiment un endroit de folie. L ambiance est très bonne et tout les clients ont envie de s amuser.

Ce qui est différent de nos boites, c est tout d abord, les femmes de ménages qui passent sans cesse autour des tables et sur la piste pour balayer, ensuite il y a des petite pièces privées, ou l on peut avec ses amis…… faire un karaoké ou avoir un peu plus d intimité. Il y a un restaurant à l étage, et, toujours une fille comme « lights jokey ».

Je m éclate dans cet endroit et je ne vois pas le temps passe. Avec Laure on fait les fous sur la piste et la musique électronique nous garde éveilles dans le tempo binaire qu aime tant a entendre des heures durant  les « clubbers ». Il est tant de partir car l aube pointe déjà le bout de son nez, et que la fatigue est en train de gagner son combat contre l envie.

Je conseille grandement, si vous n avez qu une sortie a faire en boite a pékin de venir au ‘Cargo’, vous ne serez pas déçu du tout, si, on vous laisse entrer bien évidemment.

Le jour se lève sur la mégalopole chinoise, le taxi nous dépose devant l entrée du building, nous montons avec l accenteur qui nous arrête au 5eme étage. Nous pénétrons dans la grande salle a manger et, le temps de se dire : »bonne nuit » et de faire sa toilette, nous nous couchons, Laure, Odile et moi, mais je sais que  cette nuit  restera graver dans ma mémoire, comme un moment magique partage avec des personnes que j aime et a qui je tiens.

PHOTOS:

1: Entree du TANGO

2-3-4-5-6-7: Le suzy Wang, version "before"

8: Le 'Suzy Wang' version club... de rencontre

9-10-11-12-13-14-15-26-17: Le CARGO, ses lumieres, sa decorations, son ambiance et ses rencontres.

18: Meme a pekin, je reste supporter de L OM, qui, on vient de me le dire est en finale de la coupe de france  contre... Un petit club pas tres connu et sans grand interet  dont j ai oublier le nom...

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Norbert à PEKIN 2 (le retour)
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